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About a girl



Ok, il doit maintenant être aux alentours de quatre heure du matin (je déteste les chiffres et tout se qui s'y rattache de près ou de loin). J'inaugure le renouveau de cet espace personnel par une slave de révélations. Ouais, qu'on se le dise, "mais, fais ce qu'il te plaît" à part ça le temps est merdique.

(Oh oh)

Certains sont doués pour faire rire, d'autres respectés pour la lucidité (et donc blasitude, l'un n'allant pas sans l'autre) de leurs écrits. Dans mon cas, j'avoue être partagé entre cette récurrente tendance à moquer, et mon second, qui est de le lamenter. Me lamenter. Ouais, mine de rien je fais que ça ces temps ci, n'est-ce-pas Jackal? Sur un coup de tête j'ai tout viré, serais-je impulsif? Peut être était-ce dans le seul but de susciter l'intérêt de certaines personnes... ouais, en fait je m'en carre. Dans tous les cas, c'est pas jouasse ces temps-ci. Mais mais, mais, tout déclin a son point et départ et "ceci explique cela" comme dirait l'autre vieille peau.

Ouais, il y a un départ à tout.

J'ignore si ceci n'est que le ressorti de mon imagination, mais c'est ainsi que j'ai choisi d'interpréter les mots.

Cela fait maintenant plusieurs mois que je me livre à cet implicite petit jeu avec toi. Je dois avouer en tout honnêteté que cela m'a plût, donnant lieu à un désir grandissant et à la recherche d'un sentiment que je ne connaissais alors pas. J'admets ne jamais avoir été si instable, allant de la peine de coeur et les douleurs qu'elle comprend, à quelques interludes de joie intense, parfois proche de l'euphorie. Finalement, cette vie n'est pas si pourrie, et qui plus est, je trouve quelques personnes dignes d'intérêt lui donnant sens. Elle est aussi pleine de surprises.

Deux années passées sans s'échanger aucun mot, et un jour (Ô combien merveilleux jour), au détours de quelques belles phrases. [...] La blogosphère, invention pas si pourrie finalement. Je fus depuis lors d'une attention extrême. Surveillant chaque texte, chaque phrase, afin d'alimenter cette attirance grandissante, ou plutôt de nourrir mes si frêles espoirs. Certains me disaient fou lorsque j'apportais une conclusion hâtive au sens de certains de tes dires. Imagination florissante menant à l'aveuglement? Je ne pense pas, ou plutôt, je ne l'espère pas. Tu es devenue à toi seule le centre de ma fascination.

On me sait solitaire, parfois même atteint de mutisme. Le fait est que que je suis dans une recherche constante. "Même si l'apparence" ne laisse rien transparette, tu es cette demoiselle me poussant dans mes derniers retranchements face à ce constant afflux de sentiments à l'eau de rose. A vrai dire, je n'avais encore jamais rencontré cette demoiselle qui me manquait tant. L'Amour, ouais, je crois définitivement qu'il s'agit bel est bien de l'Amour avec un grand A dont je me moquais encore ouvertement il y a peu de temps. L'Amour, exprimé dans notre langue par une phrase ordinaire, avec sujet, verbe et complément d'objet direct; "Je t'aime" est devenu quelconque pour de nombreuses personnes de part son inapproprié suremploi. Chose Ô combien révoltante aux oreilles de ma petite personne, n'ayant jamais été capable de l'employer, faute de l'absence de cette personne, élue à recevoir ces doux mots. Absence aujourd'hui comblée car... j'aime t'aimer. Le plus dur dans tout ça étant d'employer le "Je" car, mine de rien, c'est difficile d'être quelqu'un. Le brouillard s'éclaircit, cependant, m'arrêter d'écrire serait lâche et contestataire. "Un contestataire acharné qui n'aime rien ni personne" j'ai bel et bien menti sur toute la ligne. Au final, je garde le mot de la fin car ce blog est indigne de recevoir ma déclaration, et par la même occasion, d'arborer ton prénom. Je me réserve le luxe d'employer cet égoïste privilège; mon seul fantasme étant de me déclarer à vous, jeune impertinente.


"Toutes les histoires ont une...un début". Il paraît qu'il faut parfois savoir rester simple, allons bon.




[...] tradution d'un long moment de reflexion avant une intervention.

'Implicite petit jeu'; exaltant.

En effet ton imagination n'est responsable d'aucune méprise. Je me rends compte que ce que nous qualifions tous deux de véritable connerie sait bien se jouer de nous. L'insoupçonné s'éveille.

Je peux également m'enivrer de tes mots. Les approcher de si près, toucher du bout du doigt l'impalpable, l'irréel, pour avoir le sentiment d'effleurer presque physiquement l'être tant recherché. Folie psychologique?nan, délire sentimentale.

Je trouvais la 'destinée rose' vipère de me faire éprouver autant de sentiments à ton égard. Pourtant je ne pouvais m'empêcher de penser à cet enchaînement de mots que je t'associais sans répit et que je trouve presque vulgaire. J'en reviens à te citer:"L'Amour, exprimé dans notre langue par une phrase ordinaire, avec sujet, verbe et complément d'objet direct; "Je t'aime"." Des syllabes que je ne me suis jamais sentis capable d'exprimer au sens strict du terme (hélas, la bonne personne n'avait pas encore carillonnée à la porte de mon coeur).

Les personnes de mon entourage (autrement dit amis) ne comprenaient (et ne comprennent toujours pas) ma mélancolie et mon besoin de solitude lié à cet état.
J'aurais voulu vomir ces mots, m'en débarasser, liberer mon esprit de ce bouillon, de ce brouillard rose,aveuglant. Partir ou plutôt m'enfuire en courant, vite, trop vite.
A chaque tentative me heurtant à ton image je subissais un échec paradoxal à la joie que j'éprouvais de t'appercevoir au détour d'un couloir, ou bien d'échanger un regard furtif.

C'est à ce moment qu'entrait en jeu le monde du virtuel. L'univers du masque et de l'implicite. Le pixel devient (malgrès moi) l'encre de cette frénésie de plus en plus incontrolable que certains se sont permis d'interpreter 'dépression' et même 'ineptie sentimentale' (pitié ouvrez un dictionnaire ou fermez-la).L'écran séparateur de la réalité devient miroir d'un état submergeant. Je suis spéctatrice d'un corps obéissant à l'Amour.

"Quelle conne j'le connais même pas"; en effet, et pourtant l'envie de transpercer le vocabulaire et de te frôler physiquement(mise à part la bise d'un salut de politesse) me hante de jour en jour. Une sorte de fiction dont j'ai besoin qu'elle atteigne le palier de la réalité.
Croiser ton regard, t'apercevoir, ou l'échange dépourvu de matière n'est plus suffisent.
L'irrépressible irrésistible attirance n'est pas un mythe.

J'arête cet enchaînement de pensées destructurées à tendance presque décadente avant de me répéter indéfiniment.

"j'aime t'aimer", il me suffit
Pourtant, c'est pas simple.

Un coeur en overdose de mutisme...


Requiem æternam dona eis, Domine, et lux perpetua luceat eis!

(Benediction d'une souffrance perdue a laquelle le mensonge est son remede.)

Ainsi soit-il...
Amen

Sm'arrant, être amoureux t'humanise je trouve Franzounet :p

Que ces jeunes sont compliquéés... Ca fait plaisir à lire! J'suis émue du coup xD

L'intensité de l'amour se comprendrait-il davantage à travers des... Textes?

Je pense que ça dépend des gens, certains sont plus à l'aise pour decrire leurs sentiments les plus profonds par l'écriture alors que d'autres n'ont seulement besoin de dire une phrase pour succiter/partager une forte emotion.

Et, l'impertinente n'aurait elle pas dit que "on ne peut pas decrire un sentiment par une phrase" ? ;)

Mais je vous en prie ne faisons pas de ce lieu une plateforme pour débats en tout genre.

Laissons les mots s'exprimer pas eux même...

Kyaaah, trop mignon j'ai envie de dire x). J'ai jeté un oeil (aïe) au blog de la demoiselle et comment dire... z'êtes aussi complexes l'un que l'autre! vous avez l'air de beaucoup vous ressembler ^^

Allez jeunesses folles =)

T'as vu, ça marche pas QUE dans les films =[)

Franz putain, putain FRANZ BORDEL

Allez, go MAJ là, go MAJ, feignasse! Fais moi rêver, grande folle que tu es Franzounet!

C'est con mais il a vraiment perdu la plume là.

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