26 février 2008

J'ai retrouvé mon crayon


La Liberté d'expression. Cette notion n'a de cesse de me triturer les méninges depuis quelques temps. Le droit d'ouvrir sa bouche, de dire n'importe quoi, d'écrire n'importe quoi. C'est en faisant n'importe quoi que l'on devient n'importe qui. Cependant, on m'a appris que notre liberté s'arrête là où commence celle des autres. Étrange notion que je n'ai jamais compris. Si j'y fais allusion dans cet article, aujourd'hui même, c'est à cause des quelques récents évènements qui sont venus perturber mon esprit si sensible à l'inconnu. Vous devez sûrement connaître ce site, vous y avez peut être même participé, ou bien seulement entendu parler à la télévision ces derniers jours. Un principe intéressant, presque marrant dirais je, un moyen d'inverser les rôles. C'est alors qu'intervient l'honnêteté, ou bien la vengeance. Certains enseignants s'en sont retrouvé bafoués et, vexés, ont porté plainte pour atteinte à la vie privée. On a bien sûr fermé le site, éducation oblige; "Shut the Fuck up". Je trouve ceci tout simplement blasant, presque écoeurant. Je voue une répulsion grandissante envers de genres de systèmes fermés et austères. Les administrateurs de ce site, outrés, évoquent eux aussi cette notion de liberté d'expression, qu'on prétend nous accoutumer. Il n'en est rien. Même aujourd'hui, dans un pays qui se dit libre et moderne, cette liberté souvent entravée présente ses limites. Dans le cas des enseignants réfractaires à ce genre de système, je prônerai la pauvreté d'esprit, ou bien la hantise de se remettre en cause et d'accepter la bien dure vérité. Notez bien, phrase déclarative. Je rêve d'une réouverture prochaine du site concerné afin de m'y essayer à mon tour. En effet, je rêve, car ce charmant site ne réouvrira certainement pas.

Enfin, on verra. (On verra: la marque des aigris de tous bords)

Afin de rester dans la joie et la bonne humeur, je souhaite vous passer un petit message. Comme on a de cesse de la répéter, divulguer une quelconque information personnelle sur autrui (ou bien l'injurier) par l'intermédiaire d'un blog peut être puni par la justice. Il est évident que certaines choses ne sont pas à divulguer, ni à consigner. Je n'ai pas pour bût de vous faire une quelconque morale, ceci n'a aucune visée pédagogique (après tout je me fous de vos actes, vous avez votre conscience), c'est avant toute chose un avertissement. En effet, un ami à moi se trouve actuellement dans une situation plus que complexe par la faute d'un de ses articles, dans lequel décrivait et se remémorait quelques actes fous de ses années de collégien. Manque de chance, son ancien directeur s'est retrouvé par hasard sur son Skyblog personnel et a porté plainte pour les actes commis une ou deux années auparavant. Personnellement, je me demande sérieusement ce que le Directeur d'un collège foutait sur les blogs de ses élèves, je trouve l'acte plutôt déplacé, mais passons. De toute façon, nous ne sommes que des jeunes cons, c'est bien connu. Bref, soyez prudents, ils sont partout; ils nous observent, nous épient, consignent nos faits et gestes, nous pistent... la cyber police, j'adore la modernisation.


Éloignons nous à présent de ce sujet quelque peu morose pour quelque chose de plus profond. Lors de mes précédents ébats (littéraires), je m'étais questionné sur la raison qui me poussait à écrire, à administrer un blog de la sorte; je vous avais d'ailleurs interrogés vous aussi. Ayant travaillé la question, j'en suis arrivé à une conclusion, quelque peut fantaisiste ma foi, mais un sentiment est toujours dur à décrire, vous le savez bien.

Dans mon cas, j'administre des blogs depuis un certain temps maintenant. L'envie m'était venue tout d'abord par admiration envers des espaces personnels géniaux que je découvrais jours après jours. Pas le genre de blogs qui foisonnent sur internet, le hype "Kikoo lol", mais des personnes qui avaient quelque chose à dire, et qu'on prenait justement plaisir à lire. C'est de là qu'est parti ce passe temps, addictif si il en est. Etant jeune collégien boutonneux, je parvenais difficilement à raconter les petits riens qui font nos journées, j'étais encore trop laconique. Je me dévouais alors à faire découvrir aux gens ce que j'aimais, groupes de rock et autres jeux vidéos, m'inspirant toujours des écrivains que j'admirais, afin de me former un style bien propre à moi même. La progression en a été telle que j'en suis là aujourd'hui, à écrire sans repères, sans prendre le temps de me relire, sans imiter ou tirer les idées d'autrui.

Après cette petite rétrospective qui me rendrait presque nostalgique de ces quelques années de collégien, venons en aux faits.

Je m'exprime souvent sur le fait d'écrire en utilisant le terme d'addiction. Sans vouloir paraître trop spirituel, je considère qu'écrire est un apaisement, un accomplissement. J'éprouve toujours une certaine satisfaction lorsque le moment de mettre un article en ligne arrive enfin, une fois l'avoir travaillé et trituré dans tous les sens. Je sais alors que je vais être lu. Que le texte plaise ou déplaise m'importe peu, je n'écris pas en fonction de mes lecteurs, j'écris tout d'abord ce que je suis, ce que j'ai envie d'écrire. Je n'éprouve pas le besoin de plaire au lecteur, contrairement à certains écrivains qui prétendent écrire dans le bût d'apporter satisfaction à leurs acheteurs. La soupe, très peu pour moi. En écrivant sur un blog personnel, non professionnel, je peux me permettre autant de fantaisies et tournures dérangées que je le souhaite, contrairement aux codes enseignés en Français scolaire (Incroyable, j'y reviens à chaque article) qui m'oppressent et me brident; Je me plis à ces codes à contre coeur, mon enseignante me dit d'ailleurs souvent: "Tu pourras tout te permettre lorsque tu sera un grand écrivain", je m'accorde le droit de rêver. Écrire m'apporte une libération, pouvoir formuler de manière esthétique le tout et le rien, la pluie et le beau temps, c'est ce qui me subjugue. Bien sûr, on peut aussi prendre plaisir à écrire de la merde inutile et humoristique, technique que je maîtrise à la perfection; Je donne même des cours gratuits.

En fin de compte, j'écris pour écrire. N'est-ce pas là le plus beaux des actes? L'accomplissement intellectuel de l'artiste, car oui, écrire est un art. Selon Voltaire, l'écriture est la peinture de la voix, j'aime cette vision et la beauté de cette phrase. "Dans l'écriture, la main parle; et dans la lecture, les yeux entendent les paroles" Eugène Géruzez.

Bouleversement des sens.

J'en viens maintenant à un autre intérêt que m'apporte ce blog. Je suis un grand nostalgique et je le cache pas. J'éprouve énormément de plaisir à relire mes premiers articles, bien qu'ils soient pauvres, lourds, et souvent dénués d'intérêt. La mémoire se perd; mais l'écriture demeure. Proverbe oriental révélateur. Le récit est une manifestation visible de la pensée. Lire mes vieux écrits de nombreux temps après m'offrent une vision de moi plus profonde que peut l'être une photographie. Le fond d'une pensée...

Il est temps que je m'arrête, je m'emporte comme à mon habitude dans un délire schizophrène. Je reprocherai cependant une seule chose à l'écriture... Ce qui me tue, dans l'écriture, c'est qu'elle est trop courte. Quand la phrase s'achève, que de choses sont restées au-dehors. Ceci n'est pas de moi mais de Jean-Marie Gustave le Clézio, j'aurai tant aimé l'écrire...





19 février 2008

Premièrement, ne touche pas à tes aiguilles.

Il était une fois un petit garçon qui répondait au nom de Jack. Ce pauvre enfant n'était pas des plus chanceux. Sa naissance fut l'évènement de sa condamnation. Il naquit le jour le plus froid de l'histoire, à Edimbourg en 1874, époque déjà lointaine. Son coeur ne réussit pas à faire face aux températures extrêmes, cependant, l'enfant ne mourut pas. En effet, par chance, une gentille sorcière remplaça l'organe qui lui faisait défaut par une horloge, une seconde chance.

Une seconde chance pleine de contraintes; ne pas tomber amoureux, ne pas sombrer dans la colère; au risque de détruire le mécanisme qui maintient en vie. Il commençait bien lui...




Loin de moi l'idée de m'attarder sur le chef d'oeuvre de Mathias Malzieu, de réaliser une critique longue, barbante, scolaire, tel nous le dicte nos chères enseignants. Je me conterai juste du terme de "chef d'oeuvre", une oeuvre accomplie s'intitulent La Mécanique du Coeur.

Maintenant, si vous n'avez toujours pas compris mon intention première, je vais être plus explicite: Vous devez, oui, vous devez acheter ce Fantastique Roman (l'inverse marche aussi). Si vous aimez l'univers Burtonesque, vous apprécierez cette vision gothique de Pinocchio (c'est exactement ça).

Une aventure merveilleuse, riche en rebondissement et personnages attachants. Une vision magique du monde dans lequel nous vivons, une innocence infantile. Une histoire qui apporte un peu de fraicheur à tous les comptes du genre que l'on connait par coeur et que l'on nous comte depuis notre plus tendre enfance. Dit ainsi ça peut paraître kitsh.

De plus, la lecture de ce livre présente une deuxième intérêt bien évident aux yeux des connaisseurs du groupe Dyonisos (dont Mathias Malzieu est le chanteur). Le dernier album du groupe, porte le même nom que le roman, La Mécanique du coeur. Cet album a pour but de raconter musicalement l'épopée du petit Jack. Quel est l'intérêt? L'intérêt est de pouvoir revivre l'histoire d'une autre manière, et de pouvoir mettre une voix sur chaque personnage ayant peuplé le périple de notre jeune héros au coeur mécanisé. Je ne vous cache pas qu'il y a de la Guest Star.

Eric Cantona, Olivia Ruiz, Jean Rochefort, Emily Loizeau...

Je pourrai passer des heures à venter ainsi les mérites de ce petit pavé, j'y prendrai même du plaisir, énormément de plaisir... Maaaais, comme je l'ai dit plus haut, je ne m'attarderai pas plus sur tout ce tralala. Ah oui par contre, j'oubliais! Mathias Malzieu a µ%$è_870(-(78¤@]\@`|[|{. *BANG*



La communication avec l'administrateur de ce piètre espace personnel vient d'être interrompue, nous nous excusons pour ce petit désagrément, tout devrait revenir à la normal d'ici quelques instants.



... Oui bon d'accord la transition est merdique mais je n'ai rien trouvé de mieux, il est tard , mais deux heures trop tôt pour me pieuter. On m'a dit que tous les administrateurs de blogs étaient quelque peu autistes, le fait de raconter inutilement sa vie est bien connu avec l'usage du Journal Intime, mais il est vrai que le blog a apporté la possibilité au gens de raconter leur vie, toujours inutilement, à tout le monde! Et ainsi, de la rendre accessible partout dans le monde! C'est beau la mondialisation. Une forme d'autisme, oui sans doute. Je me pose alors une question et je vous la pose à vous aussi (bloggers); Pourquoi administrez vous un blog? La question peut paraître simple, mais on ne se la pose pas assez souvent. Certains possèdent un blog parce que c'est hype, d'autres parce qu'ils ont envie de partager (mon cul)... Dans mon cas, je l'ignore à vrai dire. Le constat est que je suis devant mon PC à écrire cet article, tandis que j'ai un nombre incalculable de choses autrement plus intéréssantes à faire. Accablant, Navrant. A vrai dire, je suis toujours étonnamment actif sur mon blog en période de vacance, une période de forte inspiration, une période qui n'est plus entravée par ce qu'on appelle l'éducation scolaire (et non pas scolastique, fort heureusement, n'est-ce-pas Choupi).

Surprenant, peu importe le sujet, j'en arrive toujours à cracher sur cet enseignement qui nous est si chère et que nous portons tous dans notre coeur de jeunes (et bêtes qu'ils disent) adolescents, le pire étant que ce n'était pas là mon intérêt premier.

Pour finir, retenez de cet article que le roman de Mathias Malzieu est à la hauteur de son précédent recueil de nouvelles fantastiques, et mieux encore. Si vous n'avez pas lu ce recueil, comprenez par là que c'est très bien. Achetez le livre, dévorez le, faîtes le connaître, avec ça, on peut espérer voir sortir une adaptation cinématographique. Imaginez un seul instant, on aurait notre Burton Français, on serait plus des grosses quiches... aie, on va encore se faire traiter de copieurs. Ne retenez rien d'autre, le reste de l'article est foutrement inutile.

Je m'endors sur ces quelques mots, faîtes de beaux rêves...

17 février 2008

Still Rotten



Sex and drugs and Rock'n'Roll, comme le disait si bien Ian Dury. Au lieu de respecter cette maxime, je me contente d'écrire, texte sur texte, n'ayant rien d'autre à faire. L'ennui me guete, comme il sait si bien le faire. Vacance est souvent synonyme de feignantise, paraisse... c'est peut être ce que je recherche après tout.

Les vacance commenceront véritablement demain, soit, dans quelques heures. A vrai dire, je serai capable de me lever demain matin, honnêtement, ça serait pas le première fois que je me fais avoir. Une habitude de petit soldat. Des habitudes qui s'impriment, qu'on respecte à la lettre, d'où la monotonie de la vie. Se lever, travailler, manger, pisser/chier (quelle vulgarité), se coucher. Nous sommes formatés, forgés, construits à l'image de l'adulte bien formé, sans même nous laisser le temps de nous questionner. Nous sommes emprisonnés avant même d'avoir une quelconque raison, nous sommes emprisonnés à l'aube de notre innocence. La vie est une prison.

Lorsque j'écoute toutes ces chansons des seventies, l'aube du punk, son apogée, sa mort; je me questionne. Textes critiques, vulgaires, rêveurs, destructeurs, créateurs, anarchistes; une soif de liberté obtenue par la haine et la rébellion; la furie. L'utopie des hors la loi, une vision punk qui se rapproche de celle des hippies, Freedom. (quoi qu'on en dise).

On profite toujours de la gentillesse des gens. Cette gentillesse prend souvent des allures de faiblesse. On accepte tout, ordres et devoirs, offenses et abus. Le tout s'accumule, telle une accumulation de déchets, puis finit par exploser.

Voilà où le monde en est:

Une banlieue maudite en zone interdite, une armée de flics. Marqués par la haine, les jeunes se déchaînent. On a rien à perdre! Les bagnoles crâment, la zone est en flamme et la folie gagne. Les gamins rebelles brûlent des poubelles, ce soir c'est la fête! Les caisses font des tonneaux, c'est le grand rodéo! Sous une tête-cagoule, t'as perdu la boule et le monde s'écroule.

Le court extrait provient d'une chanson des Béruriers Noirs qui fut écrite en 1985. Etrangement, il résume assez bien les évènements que l'ont connaît du XXIème siècle; avaient-ils vu juste? La réponse viendra bien assez vite. Rien ne va en s'arrangeant. Nombre de manifestations incalculable, pour tout et n'importe quoi, et cependant, des cris qui ne trouvent pas de réponse.

"La dictature c'est ferme ta gueule, la démocratie c'est cause toujours." Merci Coluche.

Au final?



That's all




What Became Of The Likely Lads?
Now, they fuck the system.

L'amertume me gagne. Tous mes héros sont morts.
Cobain, Vicious, Hendrix, Dimebag, Marley, Gainsbourg, Lennon...

14 février 2008

Wanted



Si un jour, oui, si un jour je mets la main sur cet enfoiré, je lui dépouillerai la carcasse au clair de lune, lui ferai boire l'eau des égouts de toute l'agglomération. Je prendrai un dérangent plaisir à l''accrocher à la place du clocher, à une altitude convenable bien entendu, afin que les charognards prennent plaisir à arracher ses lambeaux de peau, ils se délecteront ainsi de cette chère si fraiche qu'est la sienne.

Tant d'égoïsme, tant de haine! Ce personnage arrogant qu'il incarne, son auto-suffisance, son sadisme! Cette créature qui prend à malin plaisir à voir les gens souffrir, regretter, se questionner. Il aime tourmenter, attrister.

Ainsi soit-il. J'aurai recours aux services secrets, à la dénonciation, à Julien Courbet, et même aux rouquin des Experts à Miami. Je ferai tout, tout ce qui est en mon pouvoir afin de mettre la main sur sa vieille carcasse.

Oui, je suis exaspéré par toutes ces vitrines, ces offres promotionnelles qui glorifient cette fête à la con. Ces vitrines qui reflètent, tel un miroir, et me rappellent chaque instant, mon hésitation, l'hidden track.

Valentin, entre nous, si je te trouve, je t'assure que...


Dédicace à G., autre haineux de service.

3 février 2008

Wanagain a Bistoufly!



* Chanson Française : Christophe Mae - On s’attache
* Chanson Internationale : Rihanna - Don’t Stop The Music

* Révélation française : Christophe Willem
* Révélation Internationale : Mika

* Artiste féminine française : Jenifer
* Artiste féminine internationale : Avril Lavigne

* Artiste masculin français : Christophe Mae
* Artiste masculin International : Justin Timberlake

* Groupe / duo français : Superbus
* Groupe / duo international : Tokio Hotel ( Devant Linkin Park)

* Album Français : Christophe Willem - Inventaire
* Album International : Britney Spears - Blackout

* Clip de l’année : Fatal Bazooka - Parle à ma main (feat.Yelle)


Mais dîtes moi... tout cela aurait des airs de pot de chambre, non? Oui Christophe, ça fait MAL.

Le pauvre Chester Bennington a du s'en arracher les cordes vocales; il ne lui reste plus qu'à se travestir et commander une péruque "crinière de Lion" dans le magasin de cosplay du coin. Quand j'vous dis qu'on vie dans un pays de merde. Au point où on en est, notre seul espoir reste les Brits Awards. Chance que ces Anglais soient généreux et qu'ils aient la bonté de mettre un lecteur video à notre disposition sur leur site site pour la cérémonie, afin que nous, pauvres Français, puissions profiter de la vraie musique.
Sans déconner, de quand date cette rupture? Cette rupture entre la France et les vrais artistes. Les années 90? Peut être. N'empêche que le constat est accablant.

Quoi de plus frustrant qu'une Tokio-hotelleuse Anarcho-Gothik-Punk-Rebelz qui vous annonce, l'air haut, que son groupe fétiche enterre les légendaires Beatles... Plusieurs réactions s'offrent alors à vous; lui mettre un coup de tête, l'attacher à une chaise et lui faire écouter l'intégrale de LedZep, la foutre dans la soute d'un avion direction Cuba... (Hasta la victoria siempre!)

Cependant, quelque chose est en marche. Voir mes chouchous de TheDø premiers des tops de téléchargement d'itunes, ou des ventes de CD... ceci a tendance à me rendre le sourir. Quelque chose est en marche je vous dis, et même si c'est grâce à ce grand chevelu en slim vert, on finira bien par reprendre le contrôle de ce foutu pays.

Agissez! Changez de nationalité! Rendez vous au 20 Février, à 20h, sur le site des Brits, ça risque d'être jouissif.


La France, tu l'aimes ou tu la quittes!

- A bon entendeur -



Au passage, allez voir les NME Awards, cathégorie "Worst Band", Je suis très content car on y retrouve Fall out Boy, My Chemical Romance et 30 Second To Mars, enfin des gens qui pensent comme moi.

Bathroom





Pour ce mois de Fevrier de l'année 2008, je voudrai:

- Un sabre laser style Yoda
- Devenir un Serial Kinder
- Buter l'patron de Toys Heros
- Manger de la pizza avec Dantichounet
- Du papier toilette manufactured 'No More Heroes'
- Les fringues à Travis
- Un appartement certifié @ Geek Inside
- Tondre la pelouse
- Les blagues pouraves de P-A
- Partir à la chasse à l'Ananas
- Faire du clipping comme un fou
- Me la péter à la "Kill Bill", mais sans la tenue jaune
- "Let's Rock Baby"
- La coiffure de Sid Vicious (Anniversaire de sa mort, une minute de cris S.V.P.)
- Manger des crèpes
- Te faire l'amour
- Acheter une teinture rouge
- Arrêter de dire des conneries
- Déménager à 'Fucking'
- Parler Allemand
- Qu'un 19/20 ne soit pas qualifié de Correct
- Manger du Nutella
- Une version Director's Cut pour Load Odyssey...
- Que Jimmy Page m'invite chez lui
- Que mon branleur de cousin écoute Americana
- [...]
- Que Travis Barker aille aider Scofield et sa bande
- Et qu'on rende sa tête à Sara de Prison Break
- Qu'une météoride s'écrase sur le plateau de la Star Academerde
- Qu'on pende ceux qui ont fait une reprise de Smells like teen spirit
- Si possible, qu'on égorge ce caniche de Raphy
- Trouver ma Kate Moss
- Que l'album solo de Doherty sorte en avance
- Re-manger du Nutella
- Si possible, jeter mes profs en prison
- Qu'on arrête de me harceler sexuellement
- Qu'on arrête de me considerer, comme un drogué!
- Mais me gaver de cachets de Lysopaine...
- Qu'on rende ses vrais cheveux à Bono
- Collectionner les Cadillacs
- Qu'on arrête de gonfler les filles de Soul Calibur
- Qu'on se cotise pour acheter des pattes à Nicole Ritchie
- Que le diable chiale sa mère
- Enculer à sec la censure
- Mais censurer sec quand même :D