28 novembre 2007

You can't stand me now


An ending fitting for the start. You twisted and tore our love apart. Your light fingers through the dark. Shattered the lamp into darkness, they cast us all. No, you've got it the wrong way round. You shut me up, and blamed it on the brown Cornered the boy, kicked out at the world. The world kicked back a lot fucking harder now. If you wanna try. If you wanna try. There's no worse you could do. Uh oh oh I know you lie. I know you lie. But I'm still in love with you. Uh oh oh. You can't take me anywhere, I take you anywhere. You can't take me anywhere, I can take you anywhere. I'll take you anywhere you wanna go . No, you can't stand me now. Have we enough to keep it together. Or do we just keep on pretending. And hope our luck is never ending, no. Try to pull the world, I wasn't feeling too clever. If you wanna try If you wanna try. There's no worse you could do. Uh oh oh I know you lie. All you do is make me cry. All those words that ain't true. You can't take me anywhere, I can take you anywhere. You can't take me anywhere, I can take you anywhere. I'll take you anywhere you wanna go. No, you can't stand me now.


Pete Doherty

8 novembre 2007

One week qu'il disait



Heyy, ça fait une paye vous x), ouais j'avais dit une semaine mais je tiens rarement mes engagement, puis j'suis pas ponctuel et puis euh... j'avais oublié... Oui bon, au lieu de me chercher une quelconque excuse à la con qui me rendrait limite ridicule, au tant dire que j'avais la vieille flemme, vous savez la vieille flemme, être étalé devant son pc comme un nolife de World of Warfact (World of Warcraft en moins dans mon cas, j'suis pas à ce point *.*), étalé devant ce PC à écouter les mêmes musiques en boucle des heures durant, puis en chopper d'autres lorsque celles qu'on a déjà sont sucées jusqu'à en être écoeuré, à en gerber... ne pas oublier le MSN, grâce à qui ont peut partager de longs moments de solitude à plusieurs (!), comme jouer aux Dames "Online", Duel Live, Morpion... Vive le progrès. Après plus d'un mois de -non- mise à jour (et accessoirement de -non- activité cérebrale), je me décide enfin à dépoussierer cette vieille carcasse de blog/cerveau, non je ne le laisse pas tomber, non je ne vais point le supprimer, même si ce sadique de C. m'y aurait presque incité, sans s'en cacher en plus =D (le smile n'a rien à faire là).

Pour être honnête (pour une fois), ça m'aurait embêté de laisser tomber un énième blog, surtout pour en recommencer un plus tard, lorsque la crise me reprendrait. Je profite donc de cette pseudo-rentrée pour sortir mon blog de son cercueil, oui y'en a qui l'avaient déjà enterré (les fourbes).




Alors... qu'ai-je de passionnant à raconter... pas grande chose finalement, la vie suit son cours, l'histoire se répète comme le reflux des marées (dédicace à la prologue de Secret of Mana). Entre la reprise des cours, et, des vacances trop courtes à mon goût, très peu de choses ont changé. Ah si j'ai pris 1 an depuis le dernier article, merci à tous ceux qui m'avait souhaité un Happy B'day, ça fait toujours plaisir à entendre. J'ai bien reçu mes carambars de tout le monde, il m'en reste encore, c'est dire (mémorable le "Manufactured in Belgium"). A l'aube de mes 15 ans, je me sens changé, accompli, adulte, en fait non, un peu plus con qu'avant.. finalement.


Au fait, je vous conseille "Comme un Roman" de Daniel Pennac, j'ai été obligé de le lire pour mon cours de Français, et je fus, je dois l'avouer, agréablement surpris. Bon, étant donné que j'ai lu ce livre dans le noir avec une lampe torche pendant la nuit précédant le jour fatidique pour lequel je devais le lire, j'avoue ne pas avoir put profiter "pleinement" de l'oeuvre de Pennac (lolz), promis je m'y replongerai prochainement. D'ici là... Je vous quitte sur cette agréable note[...]

- " A l'époque dont nous parlons, il régnait dans les villes une puanteur à peine imaginable pour les modernes que nous sommes. Les rues puaient le fumier, les arrière-cours puaient l'urine, les cages d'escalier puaient le bois moisi et la crotte de rat, les cuisines le chou pourri et la graisse de mouton; les pièces d'habitation mal aérées puaient la poussière renfermée, les chambres à coucher puaient les draps graisseux, les courtepointes moites et le remugle âcre des pots de chambre. Les cheminées crachaient une puanteur de soufre, les tanneries la puanteur de leurs bains corrosifs, et les abattoirs la puanteur du sang caillé. Les gens puaient la sueur et les vêtements non lavés; leurs bouches puaient les dents gâtées, leurs estomacs puaient le jus d'oignons, et leurs corps, dès qu'ils n'étaient plus tout jeunes, puaient le vieux fromage et le lait aigre et les tumeurs éruptives. Les rivières puaient, les places puaient, les églises puaient, cela puait sous les ponts et dans les palais. Le paysan puait comme le prêtre, le compagnon tout comme l'épouse de son maître artisan, la noblesse puait du haut jusqu'en bas, et le roi lui-même puait, il puait comme un fauve, et la reine comme une vieille chèvre, été comme hiver. " -

Patrick Süskind, le Parfum

Monsieur Süskind, je vous déclare ma flamme, vous êtes véritablement un homme de goût.
Finalement, même de notre temps, cette puanteur est toujours là, on ne la sent pas c'est tout, un autre genre de puanteur...

Au fait, vous savez c'est quoi la meilleure? I'm falling in love.